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Terrier Royal de Bretagne Inventaire et correspondance pour le Morbihan des volumes entre les Archives Départementales de Loire-Atlantique à Nantes et les Archives Nationales à Paris Dépouillement réalisé entre 1993 et 1998
Le Terrier Royal de Bretagne a été établi suite à une ordonnance royale de Mars 1678. Il comprend deux exemplaires. Le premier est déposé aux Archives Départementales de Loire-Atlantique (AD44), qui a récupéré les documents de la Chambre des comptes de Bretagne, dont le siège était à Nantes. Le second, « la Copie du Louvre », est conservé aux Archives Nationales (CARAN), qui possède les fonds de la Chambre des Comptes de Paris. Il est très sommairement répertorié dans la série P, d’où la réalisation du présent document qui tente d’établir une correspondance entre les volumes des deux exemplaires. Pour les registres parisiens non détaillés ci-après, l'inventaire de la série B de Loire-Atlantique pourra éventuellement être consulté. Il en existe un exemplaire en salle des inventaires du CARAN. En plus de la correspondance des volumes, le document ci-après s’attache à établir, principalement pour le Morbihan, les anciennes dépendances territoriales entre les paroisses, base de nos actuelles communes, et les seigneuries. Quelques communes des départements voisins du Finistère, des Côtes d’Armor et d’Ile-et-Vilaine sont aussi concernées. A contrario, celles morbihannaises au sud-est de la Vilaine, qui dépendaient autrefois des sénéchaussées de Guérande et de Nantes, ne le sont pas. Le nom des paroisses est en lettres majuscules, celui des seigneuries en minuscules, même si certains sont semblables. Les arrières-fiefs, les manoirs nobles ou « sieuries », les établissements religieux ne sont pas systématiquement mentionnés, sauf s’ils s’étendent sur plusieurs paroisses ou s’ils possèdent la haute justice. Le niveau du droit de justice n’est pas toujours indiqué non plus. Les précisions suivantes peuvent être données :
L’auteur s’excuse auprès des lecteurs si les noms de lieux ou de personnes ont été déformés ou mal interprétés. Dans certains cas, l’orthographe d’origine a été conservée. Avant de commencer une recherche, il pourrait être intéressant de lire ou relire :
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